A l’origine, cohabitaient 2 associations : Vivre en Maurienne (VEM) et Réagir ! (R !)

VEM créée en 1978 pour la préservation de l’environnement et de la qualité de vie en Maurienne, a géré de multiples dossiers : pollution industrielle, recherches d’Uranium, autoroute, ligne THT, bétonnage de la montagne, circulation illégale d’engins motorisés dans la nature.

R ! s’est constituée en 1999 suite à l’incendie du tunnel du Mont-Blanc, et à l’afflux de poids lourds en Maurienne qui s’en est suivi.

Elle s’est investie dans la problématique des transports. En 2013, après plusieurs années de travail en commun, VEM et R ! ont fusionné pour former « Vivre & Agir en Maurienne.

Nous sommes une association d’utilité publique, désormais agréée en Savoie au titre de la protection de l’environnement (article L 141-1 du Code de l’environnement).

 

Les priorités.

  • Obtenir le transfert immédiat des marchandises de la route vers le rail en utilisant la voie ferrée existante depuis Ambérieu jusqu’en Italie.
  • Lutter contre les effets néfastes du projet Lyon – Turin ferroviaire, reportant le transfert modal à 30 ans alors que la diminution drastique des émissions de gaz à effet de serre doit intervenir immédiatement..

Le creusement du tunnel et la construction des accès engendrent l’artificialisation des sols (usine à voussoirs, bureaux, locaux techniques, logements etc…), la pollution de l’air et l’augmentation des gaz à effet de serre (circulation des camions, ouverture et réouverture des carrières et des stations de concassage, multiplication des dépôts de déchets inertes), pollutions sonores et lumineuses (chantier en fonctionnement 24 H sur 24, tirs de mine…), destruction de la biodiversité et des espaces naturels et agricoles, effets délétères sur la ressource en eau.

  • Auprès des industriels de Maurienne, obtenir une diminution des rejets polluants (fluor et autres composés organiques volatils), de leurs émissions de gaz à effet de serre et une meilleure gestion de leur consommation d’énergie.
  • Lutter contre l’anthropisation de la montagne par l’extension des stations et des domaines skiables, engendrant destruction des zones humides, de la flore et de la faune (protégées ou non) déjà très impactées par le réchauffement climatique.
  • Aider à la mise en place, dans ces stations, de solutions alternatives au “tout ski” et au tourisme “de masse”.
  • Proner une sobriété durable en luttant contre l’installation de centrales photovoltaïques sur des terres agricoles, en sensibilisant contre la multiplication anarchique des microcentrales.

 

Bienvenue à vous qui voulez « penser globalement et agir localement ».